Un Belge sur cinq est en situation probable de suréducation, dans un emploi qui requiert un niveau d’éducation moindre que celui obtenu. Le fait de travailler dans un secteur différent de celui de ses études ou le fait de travailler à temps partiel pour compléter ses revenus sont parfois volontaires, mais c’est parfois contraint, faute de mieux ou en attendant de trouver un job mieux adapté au niveau de formation. Les cas de figure sont en fait très nombreux.